History, Facts and the Weasels ♠ L'Histoire, les Faits et les Blaireaux |

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Unlike Collectivism and State Interventionism, Capitalism and Freedom works.

For several weeks now, I've been one of the very lucky few receiving regularly selected articles and/or translations directly from Mr. François Guillaumat himself (I wish to take this opportunity - knowingly induced - to thank him cordially, as well as Hervé Duray who will know why I'm thanking him without the need to lay it out over these pages) and I can tell you that your devoted dissident frogman is nothing but a little bird, compared to the other chosen few on this list - No, I'm not going to give you names. Just be informed that I'm talking about prominent intellectuals, writers, thinkers and French politicians. (The first time I saw who was on the Cc field alongside the dissident frogman, my bottommost jaw hit the floor two storeys below. All I could say for the 30 minutes after that can be abridged with "Oh Dear!" and "Oh Jeez! Him/Her as well?!?" )

Besides, the thing that really finished me off was the fact that Mr. Guillaumat choose to send this post of mine to this eminent assembly which, I can confess now, scared the sh*t out of me.
I couldn't jot down a single word for several days after that, fearing I might not live up to these new expectations.

Rejection complex, I know, I know.

Anyway... It is definitely an honor to be on this list (not mentioning that it's also very informative). At least, that's how I see it.

Back to my introductory sentence: Mr. Guillaumat recently sent us this article by Michael Gove, published in The Sunday Times of January 8th and entitled "The hatred of America is the socialism of fools".
While investigating the irrational anti-Americanism in the "Old Europe", Mr. Gove report this delightful and so true observation from the US writer Charles Krauthammer:

(About America accused of being "a predator on the poorest nations of the Earth")

(...) America's influence for good in suffering states is directly measurable in three very different examples. After the Second World War three devastated nations were divided. In each case one part of a culturally unified nation fell under America's political influence. And in each case (South Korea versus North, West Germany as against East, Taiwan as opposed to Communist China) the territory which took the American path enjoyed greater freedom and prosperity.

(I can hardly resist the need to emphasize, once again, that in each case the opposite way "chosen" by the other part has been Real Socialism.
For the lesser of the three evils - East Germany - the result was "only" an incredibly brutal and constant dictatorship and oppression and an open [or more precisely, institutionalized] support for worldwide terrorism.
In the worst cases - China and North Korea - the regime involved added to the "assets" of East Germany's Stasi, death camps, forced labor - reintroducing slavery de facto - "political rehabilitation" by the means of humiliation and violence, the doom and permanent misery of their people and country's economy.
State violence piled up tenths of millions of dead, without discrimination of opinions, social class, race, age, kind or religion - thus demonstrating, as this type of regime always do, that the Socialist conception of
equality summarizes in "Everybody is equal in front of the executioners" - the grim winner in this insane race being the idol of the French left nomenklatura, Mao Zedong.
All of which, of course, in the name of "equality" and "social justice".)

Charles Krauthammer's remark is the fruit of plain common sense.

This is not "Capitalist propaganda".
This is not ideological make up.
This is not a view of the mind nor is it the false promise of some utopian "new dawn".

This is pure and uncut observation of undeniable historical facts.

Funny that my fellow Frenchmen, the ~~self-proclaimed~~ most "enlightened", "educated" and "nuanced" people in the world can't understand such simple and straightforward obviousness.

What's the size of a blind-minded weasel's brain?

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Contrairement au Collectivisme et à l'Interventionnisme d'Etat, le Capitalisme et la Liberté fonctionnent.

Depuis plusieurs semaines maintenant, je suis l'un des rares chanceux à recevoir des articles sélectionnés et/ou des traductions, directement de M. François Guillaumat lui même (Je souhaite d'ailleurs profiter de cette opportunité - provoquée sciemment - pour l'en remercier cordialement, ainsi qu'Hervé Duray qui saura de quoi je le remercie sans qu'il soit besoin de l'étaler sur cette page.) et je puis vous assurer que votre dévoué dissident frogman n'est que de la petite bière comparé aux autres "élus" figurant sur cette liste - Non, je ne citerai pas de noms. Sachez seulement que je parle d'éminents intellectuels, écrivains, philosophes et hommes politiques. (La première fois où j'ai vu aux côtés de qui le dissident frogman figurait dans le champ Cc, ma mâchoire inférieure est partie dans une chute libre de deux étages. Tout ce que j'ai pu prononcer pendant les 30 minutes qui ont suivi a été "Bon sang !" et "Oh m*** ! Lui/Elle aussi ?!?")

Mais ce qui m'a réellement achevé, cela à été de voir que Mr. Guillaumat a choisi de dédier à un de mes propres posts dissidents l'un de ses envois à cette impressionnante assemblée, ce qui, je puis l'avouer maintenant, m'a foutu une frousse de tous les diables.
J'ai été incapable de coucher le moindre mot sur l'écran pendant plusieurs jours, de peur de ne pas être à la hauteur de cette nouvelle attente.

Complexe de rejet, je sais, je sais.

Bref... C'est réellement un honneur (ainsi qu'une excellente source d'information) d'appartenir à cette liste. En tous cas, c'est ainsi que je le vois.

Retour à ma phrase d'introduction : M. Guillaumat nous a récemment envoyé cet article de Michael Gove, publié dans The Sunday Times du 8 janvier de cette année et intitulé "La haine de l'Amérique est le socialisme des crétins".
Décortiquant l'anti-Américanisme irrationnel de la "Vieille Europe", M. Gove cite cette observation savoureuse et particulièrement exacte de l'auteur Américain Charles Krauthammer :

(A propos de l'Amérique accusée d'être "le prédateur des nations les plus pauvres de la planète")

(...) L'influence bénéfique de l'Amérique auprès d'états nécessiteux est directement mesurable grâce à trois exemples très différents. Après la Seconde Guerre Mondiale, trois nations dévastées ont été divisées. Dans chaque cas, une partie d'une nation unie culturellement est passée sous l'influence politique de l'Amérique. Et dans chaque cas (Corée du Sud contre Corée du Nord, Allemagne de l'Ouest contre celle de l'Est, Taiwan opposé à la Chine Communiste) le territoire qui avait pris la voie Américaine à joui d'une plus grande liberté et prospérité.

(Je résiste difficilement au besoin de mettre en évidence, une fois de plus, que dans chaque cas, le modèle opposé à été celui du Socialisme Réel.
Dans le moins pire des cas - Allemagne de l'Est - le résultat n'a été "qu'une" dictature et une oppression d'une brutalité et d'une constance inouïe et un soutien non dissimulé et même institutionnalisé pour les activités terroristes dans le monde entier.
Dans les pires des cas - Chine et Corée du Nord - les régimes concernés ont ajouté aux "acquis" de la Stasi Est Allemande les camps de la mort, le travail forcé - réintroduisant ainsi de facto l'esclavage - la "rééducation politique" par l'humiliation et la violence, la ruine et la misère permanente du peuple et de l'économie de leur pays.
La violence de l'Etat a empilé les morts par dizaines de millions, sans discernement d'opinion, de classe sociale, de race, d'âge, de genre ou de religion - démontrant ainsi, comme ce type de régime l'a toujours fait, que la conception socialiste du concept d'égalité se résume à "tous égaux devant les bourreaux" - la palme en ce domaine revenant à l'idole de la nomenklatura de gauche française, Mao Zedong.
Tout cela bien entendu, au nom de "l'égalité" et de la "justice sociale".)

La remarque de Charles Krauthammer est le fruit d'un minimum vital de bon sens.

Ce n'est pas de la "propagande Capitaliste".
Ce n'est pas une fabrication d'idéologue.
Ce n'est pas une vue de l'esprit ou la fausse promesse d'une utopique "aube nouvelle".

C'est l'observation pure et simple de faits historiques indéniables.

Marrant que mes compatriotes français, ~~autoproclamés~~ peuple le plus "éclairé", "cultivé" et "raffiné" du monde, échouent à appréhender de telles évidences.

Quelle peut bien être la taille d'un cerveau de blaireau atteint de cécité de l'esprit ?

the dissident frogman